Le chemin à parcourir

 

Le chemin a parcouri

 

Le chemin à parcourir doit rester imprévisible,

se garder disponible pour l'encore nouveau

ne rien prévoir sur notre route

ne rien attendre sinon le bel inattendu.


Avancer en poésie, remercier ce qui la pousse hors de nous

libre comme herbe folle qui croît au centre de l'instant.


Avancer en poésie, celle qui sert à nos métamorphoses


Juste écouter les bruissements "d'ailes"...

 

jamadrou © 13 avril 18  (A fleur de peau)

 

 

 

 

Commentaires

  • kastor

    1 kastor Le 14/04/2018

    "Toute poésie doit naître libre et un peu folle, tendre et rebelle aux mains qui la mettent au monde. René Char
  • Josette

    2 Josette Le 14/04/2018

    bruissement d'ailes... et bruissement d'il pour toujours
    jamadrou

    jamadrou Le 14/04/2018

    Josette, les bruissements des âmes aimées s'entendent à jamais, pour toujours?
  • Marie Minoza

    3 Marie Minoza Le 14/04/2018

    Frissonnement des ailes du vent,
    De la fleur qui s’épanouit!
    Du brin d'herbe qui danse,
    Du papillon qui folâtre!
    Ne rien attendre pour tout accueillir!
    jamadrou

    jamadrou Le 14/04/2018

    Marie , être ouvert pour créer des courants d'air
  • Quichottine

    4 Quichottine Le 15/04/2018

    Ne rien attendre, accueillir ce qui vient.
    Carpe Diem.
    Passe une douce journée Jamadrou.
    jamadrou

    jamadrou Le 15/04/2018

    Et arriver à faire de l’inattendu une belle surprise? Ton déménagement Quichottine tu sauras l’accueillir comme belle opportunité , un bonheur à deux, qui mettra de l’inattendu dans votre nouveau projet.
  • jamadrou

    5 jamadrou Le 16/04/2018

    Pour Quichottine et les autres...

    "Il faut être toujours ivre.

    Tout est là : c'est l'unique question.

    Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.

        Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.

       Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise." 
    Baudelaire

    Voir le billet d'Emma ici

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