Les Poulpikan' bleu noir océan, ont mis leur vêtements de travail pour partir vers l’immensité de l’océan mais leur cœur se serre, une peur « bleu translucide » se glisse entre leurs pieds, des tentacules « violet pourpre » enserrent leurs poumons, le « noir velours » s’insinue dans les veines, un « bleu phtalocyanine aux nuances vertes » longe leurs reins, ils tremblent en « outremer foncé aux nuances rouges ».
Projetés sur un huitième continent où aucune île n’est paradisiaque mais où tout n’est que déchet transparent reflétant l'absurdité des hommes, vont-ils plonger dans la honte aux couleurs du désespoir ?
Commentaires
1 Josette Le 27/02/2019
l'océan est souvent inconstant...comme le coeur de l'homme
jamadrou Le 27/02/2019
2 Renée Le 27/02/2019
3 jill bill Le 27/02/2019
jamadrou Le 27/02/2019